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En avant vers l’autonomie alimentaire

Le saviez-vous ? L'objectif premier de ce site est de permettre à chacun de se réaliser pleinement en tant qu'être humain souverain. Et pour cela, en plus des nombreux articles, se trouvent en accès libre plusieurs formations en ligne ! en cliquant ici.

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En avant vers l’autonomie alimentaire au potager, sur une petite surface de base, et avec des légumes variés (salades, poireaux, choux, courgettes, oignons, blettes, céleri, petits pois, haricots, etc.) en dehors des pommes de terre.

en avant vers l'autonomie alimentaire
Voici le premier de mes carrés potager à la Française avec mes toutes premières plantations : chou rouge, épinards, betteraves, oignons, céleri branche, blette (les petits pois sont à venir).

Nous nous faisons souvent la réflexion, moi la première, que pour faire un potager digne de ce nom, il faut de la surface. Il faut un grand terrain de culture !  Or j’ai découvert il y a peu de temps que c’était une erreur, une de plus. Encore un sujet sur lequel j’avais à désapprendre pour mieux réapprendre et agir.

Je vous montre donc dans la vidéo ci-dessous de quoi il est question, avant de poursuivre plus avant dans le développement du potager en lui-même et des ajouts que j’ai l’intention d’y apporter.

En avant vers l’autonomie alimentaire : Le potager en carré à la Française

Ce qui a tout déclenché à mon niveau, c’est la découverte de cette vidéo (et de là, je me suis précipité sur le livre, Le potager en carré à la Française) avec un long entretien et des images du potager d’Anne-Marie :

Voici donc le livre par quoi tout a commencé. Le livre de Anne-Marie Nageleisen, la femme qui a créé cette méthode de culture.

Le site de Anne-Marie Nageleisen où vous pouvez retrouver son livre et ses formations.

Alors, alors, le but ici est donc de créer des carrés de culture de 1,20 m  de côté et de placer au cœur de ces carrés, 9 autres petits carrés de 40 cm de côté.

Comme je vous l’ai montré dans ma vidéo, j’ai donc fait mes deux premiers carrés sur la base du plan que vous pouvez voir ci-dessous.

en avant vers l'autonomie alimentaire

Chaque petit carré de 40 cm de côté devant contenir une famille de légume différente, lorsqu’ils sont côte à côte.

Dans son livre, Anne-Marie montre les familles de légumes en question et y ajoute un code couleur pour s’y retrouver de façon simple et ludique. En fait, je me suis retrouvée à m’amuser comme une enfant devant un puzzle qu’il lui fallait assembler, puis colorier !

Je m’y suis reprise à deux fois, mon premier dessin posant problème au niveau des petits pois que je devais impérativement placer au fond, pour que le soleil ne soit pas caché pour les autres légumes.

Irriguer le potager avec des oyas

Alors, planter des légumes, c’est bien, mais vient très vite le casse-tête des arrosages. Et c’est là qu’apparaissent les oyas. Des sortes d’amphores en terre cuite, poreuses, que l’on enterre en partie et qui permettent d’irriguer, au niveau des racines, les légumes !

Fabriquer soi-même ses oyas

  • un pot en terre cuite (comme je le dis dans la vidéo, vérifier la porosité du pot avec versant un peu d’eau dessus) de la taille que vous voulez
  • Un couvercle en plastique (qu’il faudra bien maintenir en place avec une grosse pierre, car sinon le vent se chargera de l’expédier à perpette les oies…) éventuellement percé en son milieu pour y mettre un flotteur également fabrication maison, qui indiquera le niveau de l’eau et permettra d’un simple coup d’œil de savoir s’il faut remplir à nouveau l’oya, ou pas !
  • Une tige fine (genre bambou, fin tuteur) plantée dans un bouchon en liège, fait un excellent flotteur maison, avec des traits de peinture (sur la tige) en fonction du niveau de l’eau, genre en rouge : alerte, vite il faut de l’eau !!! 😉
  • Sinon, un couvercle avec un carreau de carrelage, une assiette, etc. (donc des éléments qui ont un certain poids que le vent n’emportera pas) font aussi très bien l’affaire.
  • Un bouchon type cidre ou champagne (à retailler au cutter pour bien l’adapter) pour boucher le trou du fond, du pot en terre.

Par exemples (suite à recherches sur le net), différentes tailles d’oyas et la surface qu’elles peuvent irriguer

  • un oya de 1/2 litre d’eau, a un diamètre d’irrigation de 25 cm.
  • un oya contenant 1,5 litre d’eau, a un diamètre d’irrigation de 40 cm.
  • un oya d’environ 2 litres d’eau, a un diamètre d’irrigation de 60 cm
  • un oya contenant 4 litres d’eau (d’une hauteur de 29 cm – avec chapeau, ce qui évite l’évaporation de l’eau et, les insectes ! – et d’une de largeur de 17 cm), a un diamètre d’irrigation de 65 cm. (note perso : je suis dubitative entre le modèle 2l  et le 4l avec seulement 5 cm d’écart au niveau diamètre d’irrigation… J’y reviendrai donc lorsque le système sera en place chez moi)
  • un oya contenant 5 litres d’eau, a un diamètre d’irrigation de 80 cm.
  • un oya de 10 litres d’eau, a un diamètre d’irrigation de 1 mètre.

En théorie, à savoir, donc à vérifier dans la pratique pour aller vers l’autonomie alimentaire

  • Le mieux est de planter les oyas en même temps que les plants de légumes.
  • Le temps sans avoir besoin de remplir à nouveau l’oya dépend bien sûr de sa taille, compter entre une à deux semaines maximum.
  • Il faut retirer les oyas de terre et les mettre à l’abri du gel pendant la saison froide ! La terre cuite humide, ça casse sous l’effet du gel mais, certains disent qu’un bon paillage suffit pour les protéger l’hiver… (tout dépend sans doute, dans quel coin géographique ils se trouvent).

En avant vers l’autonomie alimentaire avec l’aide des orgonites

Comme je l’ai dit dans ma vidéo, j’ai par le passé utilisé des pyramides en cuivre au niveau électro-culture (voir à ce propos mon lien au bas de cet article, Démarrer son potager, mon exemple de potager). Et c’est donc tout naturellement que je me suis penchée sur l’utilisation des orgonites dans le jardin, des orgonites en forme de pyramides.

Une orgonite est donc un assemblage de pierres, de métaux, le tout moulé dans une résine.

Alors, je vous mets ici une première vidéo qui explique très bien ce qu’est l’orgone, et d’où vient cette appellation et découverte (et ce même si j’ai un avis sensiblement différent avec certaines conclusions de cette vidéo, mais bon, l’aspect découverte y est, c’est l’important) :

Je vous mets également cette autre vidéo qui montre les effets d’une orgonite en forme de pyramide, sur de l’eau (donc vous pouvez aisément imaginer ce que cela peut donner dans un jardin, avec l’eau qui vient irriguer les plantes, entre autre utilisation) :

Conclusion

En avant vers l’autonomie alimentaire, il n’y a plus qu’à expérimenter, encore et encore !

Je ferai plus tard un nouvel article ou une vidéo complémentaire pour montrer les avancées de tout ceci. J’ai hâte de voir ce que cela va donner. Il me faut donc mettre en place mes oyas maison (et ce même si sur deux carrés j’ai déjà fait mes plantations, ce sera sur les deux carrés que j’ai encore à mettre en place, je ferai mieux l’année prochaine), et acheter mes orgonites pour tester à différents endroits de mes carrés potagers.

Et vous, êtes-vous prêt pour les expérimentations ?!

Odile

Pour en savoir plus :

  • Démarrer son potager, mon exemple de potager
  • Arbres et haies au jardin, le bon équilibre pour créer un micro-climat

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« Ce n’est pas à la foule que doit parler Zarathoustra, mais à des compagnons. Zarathoustra ne doit pas être le berger et le chien d’un troupeau, c’est pour enlever beaucoup de brebis du troupeau que je suis venu. Des compagnons, voilà ce que cherche le créateur, et non des cadavres, des troupeaux ou des croyants. Des créateurs comme lui, voilà ce que cherche le créateur. » Nietzsche

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