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Comment positiver quand on a un cancer ou quand un proche a un cancer ou toute autre maladie jugée grave, jugée mortelle. Comment faire de cette situation une chance incroyable pour exploser de vie et de bonheur face aux yeux de ceux qui pleurent pour nous ou qui nous enterrent déjà…
Pour commencer, je vais mettre les choses au point. Non, je n’ai pas de cancer. Je n’ai jamais eu de cancer. je n’ai pas non plus de maladie grave, ou tout du moins pas à ma connaissance car je ne vais jamais chez le médecin.
La dernière visite médicale que j’ai faite était une visite médicale obligatoire pour l’un de mes enfants, autant dire que ça date vu qu’ils sont tous majeurs depuis belle lurette. En dehors de ça, je ne vais et n’allais déjà jamais chez le médecin, sauf en cas d’accidents (chute, coude cassé, main fracturée, accident de moto, etc.) de mes enfants, le plus souvent.
Ok, alors comment puis-je dire à d’autres personnes ce qu’il faut faire, ou ce qu’il serait bien de faire en cas de cancer ou de maladie grave ? Comment oser positiver dans une telle situation ? Je ne suis pas médecin, ni infirmière, je n’ai aucune formation dite médicale. Donc quelle légitimité ai-je pour donner un avis à ce propos !?
Eh bien c’est simple, voilà des années que je me soigne moi-même, que j’ai soigné mes enfants moi-même, que je me documente sur des méthodes dites alternatives (depuis toujours car c’était déjà le cas dans ma famille, donc dans ma petite enfance), que je pratique depuis deux ans l’alimentation vivante, le manger cru, et que j’en constate au quotidien les effets bénéfiques sur mon organisme. Que j’ai eu l’occasion de voir combien le mental, nos croyances peuvent influencer nos vies, car oui, nos images mentales nous font vivre et mourir.
Ma légitimité est donc mon expérience personnelle, l’expérience d’une femme (née en 1964) qui remet systématiquement en question tout ce qui est d’office mis en avant par une majorité de gens, qui fuit le dogme et qui teste toujours sur elle ce qu’elle avance ensuite pour les autres.
Comment positiver quand on a un cancer, ma réponse
Alors tout d’abord cette question a été posée par une personne sur un réseau social, je vous mets ici sa question complète :
« A tous les marchands à la sauvette du positivisme… Je vous pose une colle, répondez-moi pour voir : Soit votre père ! Il vient de chopper le cancer du poumon. Racontez-moi comment vous « positivez » ! »
Face à un tel cri de désespoir, car c’est ainsi que je l’ai finalement pris, j’ai décidé de répondre par le biais d’une vidéo (ou du podcast) que je vous invite à regarder/écouter :
Comment positiver quand on a un cancer, à mes yeux c’est là l’occasion idéale pour changer drastiquement de mode de vie, de mode d’alimentation, de rythme de vie, de cadre de vie aussi, peut-être ! et de fuir à toutes jambes toutes personnes qui, au nom de votre bien, remettrait en question la moindre de vos décisions sous le prétexte que ça ne va pas dans le sens de la médecine officielle, de la médecine classique.
Face à la maladie, à la vie, à la mort, une seule et unique personne doit décider de ce qu’elle souhaite, de ce qu’elle veut pour elle-même, sans se laisser influencer par la peur, la frayeur des autres. Frayeur qui va se frayer un chemin dans votre esprit déjà bien chamboulé par ce qu’il vit et peut-être y faire de plus gros dégâts encore ! ou peut-être pas…
Du coup, le compliqué, le difficile n’est plus de répondre à cette question du « comment positiver quand on a un cancer », mais de comment positiver quand un proche a un cancer et qu’il ne jure que par une seule approche, toujours la même, celle de la médecine officielle. Sachant que de toute façon, même après une chimiothérapie, il y a toujours la possibilité de nettoyer le corps de tous ces effets secondaires destructeurs qu’elle aura provoqué ! mais ça prendra énormément de temps et, dans une telle situation, le temps à toute son importance…
« A chaque fois que vous vous retrouvez du côté de la majorité, il est temps de faire une pause et de réfléchir. »Mark Twain
Du coup, comment positiver quand un proche a un cancer ? Faites sortir tout l’amour que vous avez pour cette personne, montrez-lui combien elle est importante pour vous, combien vous l’aimez, combien vous respectez ses choix (qu’ils correspondent à vos idées ou pas !), combien vous serez toujours disponible pour elle dans votre cœur, si vous ne pouvez pas l’être physiquement.
Ce que j’ai fait quand j’ai découvert la leucémie de mon petit fils
Je vais terminer ma réponse avec ce que j’ai fait lorsque j’ai appris que mon petit fils avait une leucémie. Je me sentais complètement impuissante face au monde médical, à toutes ces blouses blanche et à la chimiothérapie, face à cet hélicoptère qui s’envolait brusquement avec le corps d’un enfant de deux ans et de sa mère angoissée à ses côtés.
Comment positiver quand on a un cancer…
Il était loin, je ne me suis pas déplacée physiquement. Par contre, par la pensée j’étais avec lui. Tout le temps ? Non, je ne pense pas, quoique… sur un autre plan, à un autre niveau, oui, j’étais là tout le temps.
J’ai agi avec les moyens qui sont les miens, avec des moyens qui peuvent sembler d’un autre âge pour certains, mais avec des moyens qui faisaient sens pour moi, qui font partie de celle que je suis.
Pendant plusieurs heures, dès que j’ai su ce qu’il avait, j’ai fait ma petite opération chirurgicale à moi, j’ai travaillé sur des sigils. J’ai pris mon temps pour faire mes sceaux, mes talismans et je me suis concentrée pour les activer.
Mon petit-fils est guéri depuis de nombreuses années (au moment où j’écris ces lignes il a 11 ans, c’est un collégien), il a subit la chimiothérapie, il a des effets secondaires épouvantables, sa vie n’a rien eu à voir avec celle de la majorité des autres enfants dits bien portants, elle sera pour encore longtemps bien différente de celle des autres enfants.
Ma conclusion
Ne croyez rien de tout ce qui précède, de ce que je viens de dire, des conseils, de mes expérimentations, vivez-le dans votre chair, dans vos tripes ! Et alors là seulement, vous saurez quoi faire, quelle décision prendre, comment agir en toute autonomie en vous respectant vous-même et en respectant l’autre.
La véritable charité n’enlève jamais à autrui sa liberté.
Odile
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